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Lorsque vous voulez utiliser le bois qui n’est pas naturellement résistant à la carie pour une application humide (par exemple, à l’extérieur) ou là il peut être à risque pour une attaque d’insectes, vous devez spécifier le bois traité avec un préservatif. C’est le petit bois d’œuvre qui a été traité chimiquement pour le rendre peu attrayant aux champignons et aux autres organismes nuisibles. De la même manière que vous spécifieriez l’acier galvanisé là où il serait à risque de rouiller, vous spécifiez le bois traité là où il sera utilisé dans un milieu propice à la carie. Aussi comme l’acier galvanisé, le bois traité a une enveloppe de matériau protégé autour d’un noyau non protégé. Tant que l’enveloppe demeure intacte, l’âme sera protégée.
Le bois ne se détériore pas juste parce qu’il devient mouillé. Lorsque le bois se décompose, c’est parce qu’un organisme s’en nourrit. Les produits d’imprégnation fonctionnent en rendant la source de nourriture immangeable pour ces organismes.
Le bois bien traité par un produit d’imprégnation peut avoir une durée de vie de 5 à 10 fois plus longue que le bois non traité. Cette extension de vie sauve l’équivalent de 12.5% de la récolte annuelle des grumes au Canada. Le bois imprégné est le plus souvent utilisé pour les traverses de voies ferrées, les poteaux de services publics, les terrasses, les clôtures et autres applications extérieures. Une variété de méthodes de traitement et types de produits chimiques sont disponibles, selon les attributs nécessaires par l’application particulière et le niveau de protection requis.

Méthodes de Traitements

Deux méthodes de base existent pour imprégner: avec ou sans pression. L’application des produits d’imprégnation en badigeonnant, par pulvérisation ou en trempant la pièce à traiter sont toutes des méthodes d’imprégnation sans pression. Ces traitements superficiels ne résultent pas en une pénétration profonde ou une grande absorption du produit d’imprégnation. Il est préférable de restreindre les traitements sur place durant la construction (par exemple, lorsqu’une pièce traitée sous pression doit être sciée dans le chantier), aux cas où qu’une seule partie doit être traitée, ou au traitement de remédiation du bois en place. À titre d’exemple, des mélanges de borate et de glycols sont utilisés pour traiter le bois net de pourriture laissé en place durant la réparation des problèmes de carie. Le glycol aide le borate à pénétrer le bois sec, arrêtant l’activité de tous les champignons qui y touchent. La pénétration des produits d’imprégnation est quand même limitée, et la fonction la plus importante est la prévention de la propagation au bois net de pourriture des champignons laissés en place.Une pénétration plus approfondie et plus systématique est obtenue en forçant le produit d’imprégnation dans les cellules du bois avec de la pression. Diverses combinaisons de pression et de pression sous vide sont utilisées pour forcer des niveaux adéquats de produit chimique dans le bois. Les produits d’imprégnation avec pression s’agissent de produits chimiques transportés par un solvant. Le solvant, ou le support, est soit l’eau, soit l’huile. Les produits d’imprégnation à l’eau sont devenus de plus en plus populaires au cours des 20 dernières années en raison de l’absence d’une odeur, la surface plus propre du bois, et permet de peinturer ou teinter le produit de bois. Lorsqu’un produit du bois sera utilisé pour une application qui présente un risque, à l’extérieur par exemple, un traitement de préservation sous pression est recommandé.

Types de Produits d’Imprégnation

Depuis des décennies, le produit d’imprégnation le plus courant en Amérique de Nord a été l’arséniate de cuivre chromaté (ACC), quoique ceci change depuis que l’ACC a commencé à éliminer progressivement son utilisation dans les applications résidentielles depuis 2004. Les remplacements sont le cuivre ammoniacal quaternaire (ACQ) et l’azole de cuivre (AC). Ces produits d’imprégnation sont appliqués avec de la pression. Ils ont tous un ton verdâtre qui s’estompe avec le temps.
Les borates sont une autre catégorie de produit d’imprégnation à l’eau grandissante en popularité. Les borates sont incolores, non toxiques pour les humains, et peuvent être appliqués sur le bois avec ou sans pression. Leur utilisation est présentement limitée aux applications qui sont protégées de la pluie et d’autres sources d’eau persistantes. Elles comprennent le charpentage dans les zones de termites et la réparation de charpentes atteintes de la carie dans les bâtiments aux prises avec des fuites d’eau et où la source d’humidité principale a été éliminée.
La créosote huileuse noire est un produit d’imprégnation pour le bois bien connu, le plus vieux type de produit d’imprégnation toujours utilisé. Elle est encore utilisée au Canada presqu’exclusivement pour les traverses de voies ferrées, où la résistance au mouvement de l’humidité est un avantage principal. Le pentachlorophénol est une huile utilisée principalement pour les poteaux des services publics où les caractéristiques du ramollissement superficiel de l’huile sont pratiques pour grimper les poteaux.
Le naphténate de cuivre et le naphténate de zinc sont deux produits d’imprégnation communs utilisés pour traiter les coupes en chantier.

Préoccupations Environnementales

À l’exception des borates, les produits d’imprégnation du bois deviennent « ancrés » dans le bois à la suite du processus de traitement. Cela veut dire que le produit chimique est quasi insoluble. En plus, le produit chimique est altéré dans le processus de fixation, de sorte que le bois traité n’est pas considéré comme posant un risque pour la santé.
Tous les produits d’imprégnation utilisés aux États-Unis et au Canada sont enregistrés et réexaminés régulièrement par l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis (U.S. Environmental Protection Agency) et l’Agence de réglementation de la lutte antiparasitaire de Santé Canada, respectivement. Les effets sanitaires et environnementaux de l’ACC sont actuellement en cours de réexamen. Veuillez consulter notre FAQ.
La science de la préservation du bois n’est pas exacte en raison de la nature biologique – et conséquemment variable et imprévisible – du bois et des organismes qui le détruisent. Les scientifiques du bois essaient de comprendre plus sur la façon que le bois pourrit afin d’assurer que la durabilité est obtenue par le design intelligent et des choix de construction lorsque possible et pour qu’en tant que société, nous puissions être sélectifs dans notre utilisation des produits d’imprégnation.

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Au Canada, des normes industrielles et des codes du bâtiment régissent l’utilisation des produits de préservation. L’Association canadienne de normalisation (CSA) produit la série de normes CSA 080 sur la préservation du bois. Le Code national du bâtiment du Canada (CNB) est notre code modèle du bâtiment, qui est adapté ou modifié par les différentes administrations du pays. Le CNB comporte des exigences sur l’utilisation du bois traité dans les bâtiments.

Série de normes CSA 080

L’association canadienne de normalisation (CSA) est une société privée à but non lucratif accréditée par le Conseil canadien des normes comme organisme d’élaboration de norme. Le Comité technique sur la préservation du bois chapeaute les modifications qui sont apportées à la série de normes CSA 080. Il est composé de représentants de fabricants de produits chimiques, d’entreprises de traitement du bois, d’organismes de réglementation gouvernementaux, de chercheurs, de consultants et d’utilisateurs de produits de bois traité. La série de normes CSA 080 fait référence à plusieurs normes de l’American Wood Protection Association (AWPA) visant l’analyse et la plupart des exigences relatives aux produits de préservation.

Les normes canadiennes applicables à la préservation du bois sont fondées sur les normes de l’AWPA, mais qui ont été modifiées pour s’appliquer au Canada. Elles ne visent que les produits de préservation homologués auprès de l’Agence de réglementation de la lutte antiparasitaire (ARLA). Les valeurs de pénétration et de rétention prescrites dépendent des conditions auxquelles un produit sera exposé pendant sa durée de vie utile. Cliquez ici pour consulter une liste de produits et de classes d’emploi tirée de la série de normes CSA 080, dont la reproduction a été autorisée par l’Association canadienne de normalisation. La norme CSA O80-15 peut être achetée sur le site Web de la CSA.

La version actuelle de la série de normes CSA 080 datant de 2015 a été révisée, pour présenter les exigences sous forme de classes d’emploi, comme le fait l’American Wood Protection Association dans ses normes, en respectant cependant le système de classes d’emploi de la norme ISO 21887. Cliquez ici pour consulter un tableau des classes d’emploi et des causes de détérioration, reproduit avec l’autorisation de l’Association canadienne de normalisation. Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez la série de normes CSA 080 publiée en 2015.

Code national du bâtiment du Canada

L’édition 2015 du CNB contient certaines exigences relatives au traitement de préservation :

  • Du bois traité sous pression conforme aux exigences de la norme CSA O80.1 doit être utilisé pour les éléments structuraux qui se trouvent à moins de 150 mm du niveau du sol fini ou qui ne sont pas protégés des précipitations ou de l’accumulation d’humidité.
  • Du bois traité sous pression conforme aux exigences de la norme CSA O80.1 doit être utilisé dans les zones exposées à l’activité de termites, sauf si le dégagement entre celles-ci et le sol est de plus de 450 mm et qu’on peut les inspecter visuellement.
  • Les caissons à claire-voie ou les murs de soutènement de plus de 1,2 m de hauteur ou la structure portante des fondations des bâtiments doivent aussi être traités.

Comme avec les autres exigences du CNB, les prescriptions du CNB relatives au bois traité sous pression doivent être considérées comme des exigences à respecter pour satisfaire aux normes minimales de tenue en service. Le CNB ne couvre pas toutes les situations dans lesquelles l’utilisation du bois traité sous pression peut prolonger la durée de vie utile de produits du bois.

Normes Internationales

Les canadiens ont aussi un rôle dans le développement des normes de préservation du bois à l’extérieur du Canada.  Pendant de nombreuses années, plusieurs canadiens ont contribué activement aux sous-comités et aux groupes de travail des comités de normes de l’American Wood Protection Association.  Le secrétariat du sous-comité 1 du CT 37 de l’ISO, « Wood Materials, Durability and Preservation » (Matériaux de Bois, Durabilité et Préservation) a été entretenu par l’Institut canadien des bois traités.  Le travailleur scientifique en préservation du bois de FPInnovations, Paul Morris, était président de ce sous-comité.  C’était le sous-comité qui a développé la norme ISO 21887, Durability of wood and wood-based products – Use classes (Durabilité du bois et des produits du bois – Catégories d’utilisation).

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Industrie canadienne de préservation du bois

Le Canada possède sa propre industrie de préservation du bois depuis plus d’un siècle. Il est le deuxième plus grand producteur de bois traité, à égalité avec le Royaume-Uni (derrière les États-Unis, qui sont de loin le plus important producteur). En 1999, l’année la plus récente pour laquelle nous avons des données, le Canada a produit 3,5 millions de mètres cubes de bois traité. On compte une soixantaine d’installations de traitement au Canada.

Comme ce fut le cas dans la plupart des pays industrialisés, le Canada a développé l’industrie de la préservation du bois autour de la créosote, qui servait au début à traiter les éléments en bois des chemins de fer (les traverses reliant les rails), puis ceux des services publics (poteaux des réseaux d’électricité). La production de créosote a commencé à ralentir dans les années 1950 et dès les années 1970, le pentachlorophénol a supplanté la créosote pour traiter les éléments susmentionnés. Aujourd’hui, seulement 17 % de la production canadienne de bois traité est imprégné de ces produits de préservation à base d’huile.

Les 83 % restants de la production sont traités à l’aide de produits de préservation hydrosolubles tels que l’arséniate de cuivre chromaté (ACC), le cuivre alcalin quaternaire (CAQ), l’azole de cuivre (AC) et l’azole de cuivre micronisé (ACM). L’industrie a amorcé un virage important dans les années 1970, en adoptant les produits hydrosolubles, l’intérêt des consommateurs pour la construction de terrasses et d’autres structures résidentielles d’extérieur s’étant énormément accru. Pendant de nombreuses années, l’ACC était de loin le produit de préservation le plus employé pour traiter le bois utilisé dans les projets de construction résidentielle et industrielle.

En 2004, la réglementation touchant l’ACC a été modifiée afin que ce produit ne soit plus vendu pour la plupart des utilisations en milieu résidentiel. Après ces modifications, les installations de préservation du bois ont remplacé près de 80 % de leur production de bois traité à l’ACC par du bois traité au CAQ, à l’AC ou à l’ACM.

Le bois traité au Canada est surtout utilisé au pays; le Canada n’exporte que 10 % de sa production.

Le Canada a ses propres normes de préservation du bois, appuie plusieurs organisations techniques et de commercialisation et conserve sa position de chef de file dans plusieurs domaines de recherche en préservation du bois. L’industrie a concentré ses efforts à répondre à la réglementation plus stricte en ce qui concerne la protection de la santé et de l’environnement.

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Attaches, connecteurs et solins pour le bois traité avec des produits à base de cuivre

L’humidité est l’une des conditions préalables à la corrosion des métaux. On utilise en général le bois traité dans des conditions où il peut être exposé à l’humidité pendant de longues périodes. Les attaches et les connecteurs employés avec le bois traité doivent donc résister à ce type de conditions. De plus, la plupart des produits de préservation du bois conçus pour une utilisation à l’extérieur contiennent du cuivre qui peut réagir avec les métaux qui entrent dans la fabrication des attaches des connecteurs. Il importe donc de choisir le bon type d’attaches ou de connecteurs. Si le bois traité est utilisé dans un milieu sec pour prévenir les dommages causés par les insectes qui détruisent le bois, y compris les termites, on n’a pas trop à s’en faire avec la corrosion.

Les utilisateurs et les rédacteurs de devis doivent garder à l’esprit que dans un milieu industriel corrosif ou une atmosphère saline, il faudra probablement employé des pièces métalliques résistantes à la corrosion.

Types de traitements de préservation du bois

La plupart des produits de préservation à base de cuivre sont corrosifs pour les attaches et connecteurs. Les produits plus récents, comme l’azole de cuivre micronisé (ACM), dans lesquels le cuivre n’est pas présent sous forme de sel ionique, sont conçus pour limiter la corrosion des métaux. Le bois traité avec ces produits peut donc être employé en contact avec l’aluminium (p. ex., supports ou pieds de meubles d’extérieur). Les traitements au borate n’augmentent pas le risque de corrosion.

Recommandations actuelles – connecteurs pour bois traité

Les connecteurs employés avec du bois traité à l’aide d’un produit à base de cuivre doivent être fabriqués à partir d’acier galvanisé à chaud conformément à la norme ASTM A653 ou galvanisé à chaud après fabrication conformément à la norme ASTM A123. La galvanisation des clous et des vis consiste à les recouvrir d’un métal sacrificiel de manière à protéger l’intégrité structurale de l’attache. La présence de produit de corrosion blanc à la surface est normale. La présence de rouille rougeâtre indique que le revêtement sacrificiel n’est plus efficace. On peut prolonger la durée de vie utile de ces éléments en mettant une membrane étanche entre le connecteur et la surface de bois traité. Il est recommandé d’utiliser des connecteurs en acier inoxydable (type 304 ou 316) si l’on souhaite prolonger le plus possible la durée de vie utile, si le degré de rétention des produits de préservation est élevé (c.-à-d. produits en contact avec le sol) ou dans des conditions difficiles, comme les embruns salins. On peut employer avec le bois traité au borate les connecteurs utilisés avec le bois non traité.

Recommandations actuelles – attaches pour bois traité

Les clous employés avec le bois traité à l’aide d’un produit à base de cuivre doivent au moins avoir été galvanisés à chaud conformément à la norme ASTM A153. Le revêtement de zinc déposé par galvanoplastie risque de s’endommager beaucoup pendant le clouage. Il est recommandé d’utiliser des connecteurs en acier inoxydable si l’on souhaite prolonger le plus possible la durée de vie utile, si le degré de rétention des produits de préservation est élevé (c.-à-d. produits en contact avec le sol) ou dans des conditions difficiles, comme les embruns salins. Au besoin, des attaches en cuivre peuvent être employées. Les attaches utilisées avec les connecteurs métalliques doivent être faites du même type de métal afin de prévenir la corrosion galvanique qui résulte du contact de métaux différents. Par exemple, il ne faut pas utiliser des attaches en acier inoxydable avec des connecteurs galvanisés.

Les vis conçues pour être utilisées avec du bois traité à l’aide d’un produit à base de cuivre doivent avoir été galvanisées à chaud conformément à la norme ASTM A153 ou revêtues d’une couche de polymères résistants, si le fabricant ou le fournisseur du produit de préservation le conseille. Il est recommandé d’utiliser des attaches en acier inoxydable si l’on souhaite prolonger le plus possible la durée de vie utile, si le degré de rétention des produits de préservation est élevé (c.-à-d. produits en contact avec le sol) ou dans des conditions difficiles, comme les embruns salins.

On peut employer avec le bois traité au borate les attaches utilisées avec le bois non traité.

Recommandations actuelles – solins pour bois traité

Les solins doivent être compatibles avec le bois traité avec lequel ils entrent en contact et être d’une longueur suffisante pour l’utilisation prévue. De plus, ils doivent être faits du même type de métal que les attaches qui les traversent, afin de prévenir la corrosion galvanique. Le cuivre et l’acier inoxydable sont les deux métaux les plus durables pour les solins. Les solins peuvent aussi être faits d’acier galvanisé conformément à la norme ASTM A653, de catégorie de revêtement G185.

Autres attaches, connecteurs ou ferrures recommandés par le fabricant

Il est aussi possible d’employer d’autres produits tels que les revêtements en céramique ou en polymères, ou les solins en vinyle ou en plastique avec le bois traité. Consultez les fabricants des attaches, connecteurs ou ferrures pour connaître les produits qu’ils recommandent pour le bois traité.

Recommandations actuelles – séchage et conditionnement du bois traité avant la construction

Il faut laisser sécher au moins la surface du bois traité au moyen d’un produit de préservation à base de cuivre à l’installation de traitement, au magasin ou au chantier avant d’y fixer des attaches, des connecteurs, des solins ou d’autres types de ferrures. On peut employer un hygromètre étalonné pour le bois ayant fait l’objet d’un traitement de préservation afin de vérifier que la teneur en humidité du bois traité se situe dans une plage similaire à celle du bois de construction non traité (c.-à-d. environ entre 12 % et 18 %), faute de quoi le bois traité risque de présenter des gerces et déformations dues au retrait, comme le bois non traité qui a été mal conditionné.  


Renseignements complémentaires

Pour obtenir de plus amples renseignements sur les attaches :

MiTek www.mitek.ca

Simpson Strong Tie (en anglais seulement)

International Staple, Nail, And Tool Association
http://www.isanta.org/ (en anglais seulement)

Liens fournisseurs privilégiés

http://www.goodfellowinc.com/

http://www.uspconnectors.com/  

http://www.strongtie.com/ 

http://www.isanta.org/ 

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FPInnovations has been field testing the performance of treated wood products for years. Click one of these categories for performance data from our field tests.

Borate-treated Wood vs. Termites

Click for performance data on Round Wood Posts
Round Wood Posts
Click for performance data on Sawn Wood Posts
Sawn Wood Posts
Click for performance data on Lumber vs Termites
Lumber vs. termites
Click for performance data on Finger-jointed Lumber
Finger-jointed Lumber
Click for performance data on Decks
Treated Decks
Click for performance data on Shakes
Shakes
Click for performance data on Millwork
Millwork
Click for performance data on Marine Pilings
Marine Pilings
Click for performance data on Field Cuts
Field Cuts
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Treatability of Major North American Softwoods

Some wood is easier to treat than others. The particular structure of the cells for a given piece of wood will determine how permeable the wood is to chemicals. This table describes the permeability of common softwoods used in North America. The permeability ratings are:

1 – Permeable
2 – Moderately Impermeable
3 – Impermeable
4 – Extremely Impermeable

Tree Permeability Permeability Predominant in the Tree
  Sapwood Heartwood  
Douglas Fir 2 4 Heartwood 
Western Hemlock 2 3 Heartwood
Eastern Hemlock 2 4 Heartwood
White Spruce 2 3-4 Heartwood
Engelmann Spruce 2 3-4 Heartwood
Black Spruce 2 4 Heartwood
Red Spruce 2 4 Heartwood
Sitka Spruce 2 3 Heartwood
Lodgepole Pine 1 3-4 Heartwood
Jack Pine 1 3 Heartwood
Red Pine 1 3 Sapwood
Southern Pine 1 3 Sapwood
Ponderosa Pine 1 3 Sapwood
Amabilis Fir (Pacific silver fir) 2 2-3 Heartwood
Alpine Fir 2 3 Heartwood
Balsam Fir 2 4 Heartwood
Western Red Cedar 2 3-4 Heartwood
Eastern White Cedar 2 3-4 Heartwood
Yellow Cypress 1 3 Heartwood
Western S-P-F 2 3-4 Heartwood
Eastern S-P-F 2 4 Heartwood
Hem-Fir 2 3 Heartwood
Western Larch 2 4 Heartwood
Tamarack 2 4 Heartwood

Incising

We can improve the penetration of preservative into impermeable wood by making little cuts in the wood. A series of small, shallow slits are cut into the wood by an incising machine. This is an effective way of increasing the treatability of lumber pieces which are predominantly heartwood. Species with heartwood permeability ratings of higher than 3 require high density incising (over 7,500 incisions per square meter). Incising does reduce the strength of lumber and this effect must be taken into account in engineering calculations.

Drying to Maximise Treatabilty

Unless the purchaser can be assured that lumber for treatment will be air dried to less than 30% moisture content, the specification of KD lumber for preservative treatment is strongly recommended. The problem with treating lumber which is not kiln dried is that the practicalities of production and delivery lead to the potential for poor product quality. The durability of treated Canadian lumber relies on a shell of preservative treatment preventing access by wood-rotting fungi to the untreated core. If the treated shell fails to prevent penetration by checks or abrasion or if the wood-rotting fungus is already in the untreated core, premature failure can result. There are four major pitfalls in treating green lumber: saturated sapwood, frozen lumber, check development and pre-treatment infection.

Saturated Sapwood

In order for the preservative to penetrate the wood cells, they must be empty of water, that is, the wood must be below 30% moisture content. In green lumber the sapwood cells may be too full of sap to accept any preservative. The sapwood is the part most susceptible to decay and most in need of preservative penetration. Partial air or kiln drying to between 20 and 30% moisture content is ideal, but there is seldom the time or the conditions necessary to do this. Purchasing commercial KD material (maximum 20%) is normally the only option to ensure the sapwood will accept treatment.

Frozen Lumber

The overwhelming majority of production is treated over the winter to prepare for the spring and summer outdoor construction season. With the exception of coastal British Columbia, most regions of Canada will be dealing with frozen wood at this time. Many treating plants do not have dry kilns, thus material is treated in the condition it is delivered to the plant. Preservative will not penetrate through ice until it is fully thawed. This typically occurs in contact with the treating solution. Frozen green lumber contains a lot of ice and there is insufficient time for this to thaw during typical commercial treating cycles. The residual moisture (12 – 20%) in kiln-dried lumber is in the cell walls and will not impede preservative penetration even if it is frozen.

Check Development

Checks only develop when the moisture content of wood drops below about 28%. If lumber is treated green and then dries, checks will penetrate the treated zone exposing the untreated core. If lumber is kiln-dried to the in-service moisture content, typically around 16% in exterior exposure, the checks will be largely developed prior to treatment. This means that the checks will be lined with a treated zone and the shell of treatment will remain intact.

Pre-treatment Infection

A lesser problem than the above three, but still of some concern, is the potential for survival through the manufacturing process of wood-rotting fungi that may have infected in the tree, log or lumber storage stages. At worst, this might only apply to 10% or fewer of pieces. Nevertheless, we have seen examples where treatment of green lumber without application of heat (60°C or more) fails to kill wood-rotting fungi already in the product, leading to premature failure in service. This can occur in as little as 4 years. CCA treatment is a cool process, but most kiln-drying schedules will kill all wood-rotting fungi.

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Individuals in the design and construction community are increasingly choosing materials, design techniques and construction procedures that improve a structure’s ability to withstand and recover from extreme events such as intense rain, snow and wind, hurricanes, earthquakes and wildfire. As a result, specifying robust materials and design details, and constructing flexible and easily repairable buildings are becoming important design criteria.

Resilience is the ability to prepare and plan for, absorb, recover from, and more successfully adapt to adverse events. For a building, this means being designed to withstand and recover quickly from adverse situations such as flooding and high winds, with an acceptable level of functionality. A structure built to withstand such natural disasters with minimal damage is easier to repair and can contribute to sustainable development. Designing for resilience can contribute to minimizing human risk, reducing material waste and lowering restoration costs.

As a result of shifting weather patterns due to climate change, there is a growing interest in adaptation and designing for resilience. Higher temperatures can increase the odds of more extreme weather events, including severe heat waves and regional changes in floods, droughts and potential for more severe wildfires. There are more intense and more frequent hurricanes, and precipitation often comes in the form of intense single-day events. Warmer winter temperatures cause water to evaporate in the air and if the temperature is still below freezing, this can lead to unusually heavy snow, sleet or freezing rain, even in years when snowfall is lower than average.

A resilient building is able to deal with changes such as a heavier snow load, wider temperature fluctuations, and more extreme wind and rain. Existing wood buildings can be easily adapted or retrofitted if there is a need for increased wind or snow loading. Wood buildings that are properly designed and constructed perform well in all types of climates, even the wettest. Wood tolerates high humidity and can absorb or release water vapour without compromising the structural integrity.

In some regions, climate change is seen to be contributing to increasingly complex wildfire seasons, which results in greater risk of extreme wildfire events. Some wildland fire regulations target specific construction features in wildland-urban interface areas, such as exterior decks, roof coverings, and cladding. A number of wood products meet these regulations for various applications, including heavy timber elements, fire retardant treated wood and some wood species that demonstrate low flame spread ratings (less than 75).

 

For further information, refer to the following resources:

Resilient and Adaptive Design Using Wood (Canadian Wood Council)

American Wood Council

American Institute of Architects

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Les membres de la communauté de la conception structurale et de la construction choisissent de plus en plus des matériaux, des techniques de conception et des procédures de construction qui améliorent la capacité d’une structure à résister et à récupérer des événements extrêmes, comme les pluies diluviennes, la neige abondante et les vents violents, les ouragans, les tremblements de terre et les feux de forêt. Par conséquent, la spécification de matériaux et de détails de conception robustes et la construction d’immeubles flexibles et faciles à réparer s’installent comme critères de conception importants.

La résilience est la capacité à se préparer et à planifier en cas d’événements négatifs, à les absorber, à récupérer et à mieux s’adapter. Pour un immeuble, cela signifie une conception qui résiste et qui se remet rapidement de situations défavorables, comme les inondations et les vents violents, avec un niveau de fonctionnalité acceptable. Une structure construite pour résister à de telles catastrophes naturelles avec un minimum de dommages est plus facile à réparer et peut contribuer au développement durable. Concevoir pour la résilience peut contribuer à minimiser le risque pour les humains, à la réduction des déchets matériels et à la baisse des coûts de restauration.

En raison de la situation météorologique en évolution causée par les changements climatiques, l’adaptation et la conception en vue de la résilience sont de plus en plus attrayantes. L’augmentation des températures peut accroître la probabilité d’événements météorologiques extrêmes, comme des vagues de chaleur intenses et des inondations, des sécheresses et un plus grand potentiel de feux de forêt. Les ouragans sont plus intenses et plus fréquents et les précipitations se présentent souvent sous la forme d’un événement intense d’une journée. Les températures plus élevées en hiver provoquent l’évaporation de l’eau dans l’air et, si la température est sous le point de congélation, cela peut entraîner des neiges anormalement abondantes, de la grêle ou du verglas, même ces années où les chutes de neige sont inférieures à la moyenne.

Un immeuble résilient peut gérer les changements comme une plus lourde charge de neige, de plus importantes fluctuations de températures et des vents et des pluies extrêmes. Il est facile d’adapter les immeubles en bois existants ou de les rénover au besoin en cas d’augmentation de la violence des vents ou de la charge de la neige. Les immeubles en bois bien conçus et bien construits ont un bon rendement dans tous les types de climats, même les plus humides. Le bois tolère l’humidité élevée et peut absorber ou libérer de la vapeur d’eau, sans compromettre l’intégrité structurelle.

Dans certaines régions, les changements climatiques contribuent à des saisons de plus en plus complexes de feux de forêt, ce qui accroît le risque de feux de forêt extrêmes. Certains règlements sur les feux de forêt ciblent des caractéristiques particulières de construction dans les régions d’interface forêt-ville, comme le platelage extérieur, les toitures et le bardage. De nombreux produits du bois respectent ces règlements dans diverses applications, comme les éléments de bois lourd, le bois traité ignifuge et certaines essences de bois qui démontrent un faible taux de propagation des flammes (moins de 75).

 

Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter les ressources suivantes :

La conception de structures en bois résistantes et adaptatives (Conseil canadien du bois)

American Wood Council

American Institute of Architects

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A tall wood building is a building over six-storeys in height (top floor is higher than 18 m above grade) that utilizes mass timber elements as a functional component of its structural support system. With advanced construction technologies and modern mass timber products such as glued-laminated timber (glulam), cross-laminated timber (CLT) and structural composite lumber (SCL), building tall with wood is not only achievable but already underway – with completed contemporary buildings in Canada, US, Australia, Austria, Switzerland, Germany, Norway, Sweden, Italy and the United Kingdom at seven-storeys and taller.

Tall wood buildings incorporate modern fire suppression and protection systems, along with new technologies for acoustic and thermal performance. Tall wood buildings are commonly employed for residential, commercial and institutional occupancies.

Mass timber offers advantages such as improved dimensional stability and better fire performance during construction and occupancy. These new products are also prefabricated and offer tremendous opportunities to improve the speed of erection and quality of construction.

Some significant advantages of tall wood buildings include:

  • the ability to build higher in areas of poor soils, as the super structure and foundations are lighter compared to other building materials;
  • quieter to build on site, which means neighbours are less likely to complain and workers are not exposed to high levels of noise;
  • worker safety during construction can be improved with the ability to work off large mass timber floor plates;
  • prefabricated components manufactured to tight tolerances can reduce the duration of construction;
  • tight tolerances in the building structure and building envelope coupled with energy modelling can produce buildings with high operational energy performance, increased air tightness, better indoor air quality and improved human comfort

Design criteria for tall wood buildings that should be considered include: an integrated design, approvals and construction strategy, differential shrinkage between dissimilar materials, acoustic performance, behaviour under wind and seismic loads, fire performance (e.g., encapsulating the mass timber elements using gypsum), durability, and construction sequencing to reduce the exposure of wood to the elements.

It is important to ensure early involvement by a mass timber supplier that can provide design assistance services that can further reduce manufacturing costs through the optimization of the entire building system and not just individual elements. Even small contributions, in connection designs for example, can make a difference to the speed of erection and overall cost. In addition, mechanical and electrical trades should be invited in a design-assist role at the outset of the project. This allows for a more complete virtual model, additional prefabrication opportunities and quicker installation.

Recent case studies of modern tall wood buildings in Canada and around the world showcase the fact that wood is a viable solution for attaining a safe, cost-effective and high-performance tall building.

For more information, refer to the following case studies and references:

Brock Commons Tall Wood House (Canadian Wood Council)

Origine Point-aux-Lievres Ecocondos,Quebec City (Cecobois)

Wood Innovation and Design Centre (Canadian Wood Council)

Technical Guide for the Design and Construction of Tall Wood Buildings in Canada (FPInnovations)

Ontario’s Tall Wood Building Reference (Ministry of Natural Resources and Forestry & Ministry of Municipal Affairs)

Summary Report: Survey of International Tall Wood Buildings (Forestry Innovation Investment & Binational Softwood Lumber Council)

www.thinkwood.com/building-better/taller-buildings

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Since remedial treatment is intended to solve a known insect or decay problem, the first thing to do is investigate the extent of the problem and, if necessary, provide temporary structural support. The investigation phase should also identify the causal factors so that these can be eliminated, where possible. Also during the investigation, the parts of the wood that have lost strength may be removed. Be aware that a wood decay fungus may have penetrated well beyond the boundaries of the visibly rotted wood. Since deterioration is underway, a rapid response is normally required. This means that where the deteriorated and infected wood cannot be removed and replaced with sound wood, the remedial treatment must be capable of rapidly penetrating the wood and killing the fungi or insects.

Solids

Since solids take time to dissolve and move, they are commonly supplemented by liquid treatments for more rapid eradication of the decay fungus or insect. Borate and copper/borate rods are the only solid remedial treatment method available to the homeowner.

Liquids, Pastes and Gels

Liquids, pastes and gels work rapidly as they do not have to rehydrate or dissolve to start moving and working. Since all visibly decayed wood should be removed wherever possible, these treatments are often used primarily to kill and contain any residual infection inadvertently left behind. Brush or spray applications are quite appropriate for this use. Gels are commonly applied to paint cracks in window joints and to the bottom of door frames, locations where moisture may get into the wood. Where decayed wood is present inside poles and timbers and cannot be removed, liquids, pastes or gels must be inserted deep into the wood for rapid action.

Fumigants

Gases move the most rapidly and therefore have a faster eradicant action.

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Lorsque possible, les trous percés pour appliquer un dépôt, les traitements supplémentaires ou de remédiation devraient être sur les surfaces verticales ou sur le dessous afin d’éviter de créer des trajets pour l’entrée de l’humidité. Dans le cas du traitement supplémentaire et où cela est possible, les bouts sciés devraient être placés de façon à ce qu’ils ne soient pas en contact avec le sol.

Si cela peut être évité, les trous pour le traitement ne devraient pas être percés sous le niveau du sol. Tous les trous devraient être bouchés par un bouchon qui bouche bien. Idéalement, ils devraient être amovibles pour permettre un nouveau traitement. Les trous pour les traitements solubles à l’eau devraient être placés dans les bons endroits pour intercepter l’humidité près des points d’entrée. Étudiez soigneusement la structure et pensez aux sources d’humidité, aux pièges à eau, aux points d’entrée de l’humidité, au flux d’humidité et aux signes d’entrée de l’humidité.

Les sources d’humidité incluent les précipitations directes, les précipitations déviées (par les fenêtres, le parement, le balcon et les passages piétonniers, les avant-toits, les solins, les parapets, les gouttières pendantes et les tuyaux de descente des eaux pluviales), la pénétration de la pluie dans les membranes étanches à l’humidité par les perforations des clous, les fentes, la défaillance des joints ou la détérioration du calfeutre, les éclaboussures de la pluie, la poudrerie, les digues de glace, la condensation, les fondations en béton, le contact avec le sol, les systèmes d’irrigation, les fuites des tuyaux d’évacuation et de la plomberie.
Les pièges d’eau incluent les bagues d’étanchéité d’égouttoir, les assemblages à grain d’orge, les gerces, les planches appressées, les surfaces horizontales creuses et n’importe où qu’un rebord est créé au bord d’une surface horizontale. Une accumulation de saleté et des débris indique souvent la présence d’un piège à eau. La croissance d’algues indique aussi les endroits où l’humidité est présente longtemps après une pluie.

Les points d’entrée de l’humidité incluent tous les endroits avec des veines d’extrémité, autour des clous, les vis et les boulons ainsi que tous les autres trous ou pénétrations, gerces et délaminages.

Les flux d’humidité dans le bois peuvent être de 100 à 1000 fois plus rapides le long du grain plutôt que diagonalement. Par conséquent, les patrons de la distribution d’humidité dans le bois sont communément en formes de cônes allongés ou de lentilles au centre du point d’entrée.

Les signes d’entrée de l’humidité incluent le gonflement, la coloration plus foncée, des taches fongiques, des taches de fer autour des pièces de fixation, le soulèvement des clous et l’écaillage des finitions de surface formant des feuils. La confirmation de la teneur en humidité propice à la carie peut être faite en employant des hygromètres du type doseur d’humidité à résistance électrique. Les hygromètres de type capacité peuvent aussi être utiles, mais ceux-ci peuvent donner des résultats erronés dans les endroits des pièces de fixation en métal.

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Traitement de Rémédiation

Puisque le traitement de remédiation vise à résoudre un problème connu d’insectes ou de carie, la première chose à faire est d’examiner l’étendue du problème et, au besoin, fournir un support structurel temporaire.  Cette phase d’inspection devrait également identifier les facteurs en cause pour qu’ils puissent être éliminés, là où possible.  Également durant cette inspection, les parties du bois qui ont perdus de la résistance peuvent être enlevées.  Soyez conscients qu’un champignon décomposeur du bois peut avoir pénétré bien au-delà des limites du bois visiblement carié.  Étant donné que la détérioration est en cours, une intervention rapide est normalement requise.  Cela signifie que là où le bois est détérioré et infecté et qui ne peut pas être enlevé et remplacé par du bois net de pourriture, un traitement de remédiation doit être en mesure d’imprégner rapidement le bois et tuer les champignons ou les insectes.

Solides

Puisque les solides prennent du temps pour se dissoudre et migrer, ils sont communément complétés par des traitements liquides pour une éradication plus rapide du champignon décomposeur ou l’insecte.  Les tiges de borate et cuivre/borate sont les seules méthodes de traitements de remédiation sous forme solide disponible au propriétaire de la maison.

Les liquides, les Pâtes et les Gels

Les liquides, les pâtes et les gels fonctionnent rapidement puisqu’ils n’ont pas besoin de se réhydrater ou se dissoudre pour commencer à migrer et fonctionner.  Puisque tout le bois carié visible devrait être enlevé lorsque possible, ces traitements sont souvent employés principalement pour tuer et limiter toute infection résiduelle omise par inadvertance.   Les applications à badigeonner ou à pulvériser sont tout à fait appropriées pour cette utilisation.  Les gels sont communément appliqués aux crevasses dans la peinture des assemblages de fenêtre et au bas des cadres de portes, les endroits où l’humidité peut s’infiltrer dans le bois.  Là où le bois carié est présent à l’intérieur des poteaux et du bois d’œuvre qui ne peuvent pas être enlevés, les liquides, les pâtes ou les gels doivent être insérés profondément dans le bois pour une action rapide.

Fumigants

Les gaz migrent le plus rapidement et par conséquence, ont une action d’éradication plus rapide.

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